3 BALADE À CAPO CACCIA, vue dominante sur la mer et Alghero

Capo Caccia  est une falaise  de 168 m au nord d’Alghero. La descente en pente raide par l’escalier du Chevreuil (656 marches) permet de rejoindre la Grotte de Neptune. Cet accès par une marche d’environ une demi-heure est étonnant par la beauté du paysage, des rochers calcaires et la végétation typiquement méditerranéenne.
L’accès par bateau est aussi très agréable. Le départ se fait au port d’Alghero. Pour une somme un peu élevée, les nombreux  touristes sont conviés à embarquer. Le trajet le long du littoral jusqu'à la grotte est extraordinaire. Je n'ai pas du tout le pied marin et à vouloir filmer à tout moment en me déplaçant sur le bateau m'a donné le mal de mer...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On traverse des paysages panoramiques extraordinaires

pour accéder à Capo Caccia.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2 À la découverte de la côte ouest : séjour à ALGHERO

Mon premier contact avec la Sardaigne a été la ville d’Alghero.

 

Le  coeur de la vieille ville au cours des promenades matinales ou nocturnes m’a complètement séduite avec ses remparts, ses tours, ses murailles, ses lungomare, son port.
Une ambiance méditarréenne que je découvrais pour la première fois.

 

J'ai été surprise par le côté hispanique d' Alghero qui est la plus espagnole des villes sardes. Les plaques des rues sont en italien et en catalan.

L’église de San Francesco avec son clocher recouvert de tuiles multicolores  accueille en son très beau cloître  des concerts de plein air. En plein été sous un ciel étoilé  et magique, j’ai pu écouter La danse macabre de Saint- Saens transcrite pour deux pianos et les sonates pour piano de Beethoven.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’adore les marchés en Italie où les étals de fruits et légumes m’attirent encore plus. Près de la vieille ville on peut y faire des courses dans de petites halles ou de grands marchés ou se laisser tenter par l’achat de bijoux  en filigrane ou en corail.

 

 

 

 

Des photos d'un autre temps

Mon père FRANCESCO CAREDDA né le 3 avril 1931 nous a quittés cette année 2013 le 7 mai au petit matin.

Je t'ai souvent questionné  sur ta vie en Sardaigne et ta venue en France en 1957.
A chaque fois tu étais surpris et silencieux. Tu m'as montré un jour un livret militaire de l’année 1954.  Mais force est de constater que peu de photos, papiers et souvenirs subsistent de cette vie en Sardaigne qui reste bien mystérieuse. Heureusement, la famille Caredda est très étendue et je devine que certains d’entre vous avez probablement quelques bribes de vie à partager ! C’est désormais possible à travers ce blog destiné à relater et mettre en commun des moments familiaux privilégiés.

 

Mes grand-parents, MARIA CAU et ANGELO CAREDDA.

Je ne les ai malheureusement pas connus. Cette photo est un montage photographique. Les deux portraits ont été accolés pour donner une existence  de couple. ( C'est ce que j'ai toujours entendu pendant mon enfance).

Mon grand-père, né à Domus Novas, était mineur dans les mines de Carbonia. Il serait mort jeune à 40 ans dans un sanatorium à Nuoro selon mon père.

Ma grand-mère a eu sept enfants de ce premier mariage ( Maria Grazia, Francesco, Guiseppe, Luiggi, Nuncia, Maria et Tonina). Elle s'est remariée  et a eu de ce deuxième mariage un fils Angelo MASSA. Elle serait morte également jeune à  environ 50 ans.

Mon père Francesco est né à Marrubiu et a vécu à Nuoro jusqu' à son départ dans la Marine (de 20  à 24 ans) à Taranto. Il est arrivé en France en 1957 et a épousé ma mère Gisèle Pernot née le 20 novembre 1936. Ils ont eu trois enfants , Marie-Christine ( en 1960), Christian ( en 1963) et Marie-Françoise (en 1965).

Mon père me dit être âgé de 17 ou 18 ans. Il est à Nuoro avec sa soeur Maria Grazia.

MOn père 24 ans a passé quatre ans dans la Marine à Taranto.

 

 

Le mariage de mes parents le  12 septembre 1959.